vendredi 26 février 2010

Tv, hi-fi, électroménager, le grand bluff

Cette transcription vidéo à été réalisée par un étudiant de français de niveau intermédiaire afin de pratiquer orthographe et compréhension orale. Si quelqu'un a des corrections à suggérer il est tout à fait le bienvenu.

voici le lien pour regarder l'entiere émission. ça vaut la peine.


Quand un client pénètre dans un magasin pour acheter une machine à laver ou un téléviseur il est à l'affut du meilleur produit au meilleur prix et toujours à la recherche d'un bon conseil.

Il faut de petit renseignement, s'il vous plait, sur les téléviseurs

En coulisse nous avons pu voir comment le conseil du vendeur peut vite se transformer en piège.
Si on dit des conneries avec un rythme soutenu, le client, il les accepte.

Notre but première c'est lui vendre le produit où emmène(?) le plus d'argent et c'est pas forcement le meilleur produit pour le client.

Dans le rayons le fabricants proposent des appareil toujours plus séduisants en apparence.

On a des machines, qu'on a design, qu'on a d'électronique, qu'on a un tableau pour un affichage, ça fait luxueux, que-t-on trouve dedans? c'est de la clabote(?)

Tout est pourtant très étudié par les fabricants, même la durée de vie de leur matériel.

Il faut que le produit soit suffisamment fiable, mais pas trop.

Pour les réparateurs indépendants sauver un appareil dévient une mission presque impossible.

Ce sont pour mettre à la poubelle, ces sont pour les mettre à la poubelle et celui-ci à la poubelle. C'est de la folie, on se pose des questions, c'est volontaire je pense.

Une panne et c'est souvent l'arrêt de mort de l'appareil, malgré la promesse du service après vente qui se déplace souvent pour rien.

Ça veut dire qu'on va (?) chez les gens on fait la figuration et on s'en va.

Peut-on encore faire confiance aux grandes enseignes quand elles nous vendent les meilleurs produits?
Pendant six mois nous avons enquêté dans les coulisses d'un marché gigantesque et truffé d'embuche, un univers où le client n'est pas plus le roi.

vendredi 19 février 2010

Ta gueule! Cohn-Bendit et un discours choc

Cette transcription vidéo à été réalisée par un étudiant de français de niveau intermédiaire afin de pratiquer orthographe et compréhension orale. Si quelqu'un a des corrections à suggérer il est tout à fait le bienvenu.



Dany Cohn-Bendit-Investiture de la Commission Barroso II
envoyé par EurodeputesEE. - L'actualité du moment en vidéo.


Sir président, Sir président, chers collègues

J'ai vu que c'est fantastique. Nous assistons à la coalition des hypocrites. Juste avant la Saint Valentine on dit à monsieur Barroso 'je t'aime, moi non plus, et de toute façon on ne te crois pas mais on va voter pour toi' alors c'est vraiment...
oui Martin Shultz! Martin Shultz!
Tu fais une grande déclaration en disant on va réfléchir alors que tout le monde sais que vous allez voter pour la commission. Ça c'est de la grande stratégie politique, c'est de la grande stratégie politique.
Moi je veux dire une chose..mais je ne sais pas pourquoi tu t'énerve Martin, tu n'est pas encore président du parlement, tu n'est pas....du calme camarade, du calme.
Alors...il faut enlever 30 seconds par Martin Shultz...moi je voudrais dire des choses très simple entre nous. Nous avons des grands groupes qui vont soutenir la commission Barroso. Ils sont incapables de faire ensemble une résolution pour expliquer pourquoi ils soutient cette commission, Incapable. Pourquoi ? Pourquoi ? Parce qu'il ne sont pas pour la commission. Et au moins Guy Verostad est clair, je suis pour les libero, et l'autre il est pour le PPE et l'autre il est pour les socialistes. Il ne sont pas...
-Tu est pour les verts!!!
Moi non, rien a pas(?)
Vous savez Guy Verostad. Nous avons été le seul groupe à être critique même quand il y avait un vert dans la commission ou une verte. Ce n'est pas nos jeux politiques. Ici nous avons à savoir si cette commission aura une vision, de l'ambition et de la détermination et si ce que a été dit est vrai la plupart des commissaires proposés, je dis pas tous, en avait ni détermination, ni vision, ni ambition, mais toute la commission ensemble, la somme des zéros fait des plus. C'est la nouvelle mathématique de la commission Barroso. Non, ça ne marche pas comme ça.

Alors, monsieur Barroso j'aime que vous nous lisez le texte du traité. Initiative, les initiatives, les quelles? Quelle a été l'initiative de la commission face à la crise en Grèce? La solidarité, où est-elle? En Espagne où est-elle? Je l'ai pas vu, je l'ai pas entendu. Moi je vous donne un conseil. Un des problèmes de la Grèce c'est son budget pour la défense, 4,3% du PIB Grec passe à la défense. Quel est le problème? C'est Chypre et la relation avec la Turquie. Où est l'initiative de la commission pour régler le problème de Chypre? Pour qu'enfin le PIB de la Grèce soit soulagé de ce conflit idiot, imbécile que on doit régler en tant qu'européen. Initiative de la commission zéro.

Sur Haïti, ça a été dit(?), madame Ashton. Je sais que vous étés ni pompier, ni sagefemme, ni je sais quoi mais de toute façon je voudrais que vous ayez des idées, je veux que vous défendiez quelque chose. Vous nous dit toujours c'est important, il faut cordonner, je vais cordonner. On se pas pourquoi c'est important, on sais pas quelle hiérarchie de ce qui est important mais on sais que vous trouvez tous important. Ça nous fait pas avancer, ça nous fait pas avancer.
Donc je crois qu'on a un problème, on a un problème fondamentale ici, c'est que nous parlement nous devons enfin démontrer que notre rapport à la commission et nous, évidemment qu'on travaillera avec la commission, évidemment qu'on travaillera avec les commissaires, évidemment je sais qu'elle aura une majorité mais ce que je voudrais une fois c'est qu'on arrêt avec les banalités, qu'on arrêt avec les généralités. On veut une Europe politique. À chaque fois qu'il y a une occasion d'avoir une Europe politique on rate le coup. Quand à Copenhague l'Europe doit aller de l'avant on rate le coup. Je veux qu'un moment monsieur Barroso, les commissaires, les anciens, les futurs, ils nous disent pourquoi ils ont raté le coup. Pourquoi l'Europe n'était pas politique? Pourquoi l'Europe n'était pas un global player? Il y a monsieur Verhoighen. Il quitte la commission. Il a été numéro deux de la commission et il dit à tout l'Allemagne et à tous ce qui veulent l'écouter 'L'Europe n'est pas un global player, l'Europe ne joue pas son rôle' Il ne dit pas pourquoi lui n'a pas joué son rôle. C'est toujours les autres, c'est toujours les autres. Et moi je veux qu'une fois dans cette commission, dans ce débat on arrêt ces généralités, que Shultz, que Verohestad, que Dole, il dit 'le mieux serait de refuser cette commission' pour qu'enfin on prenne conscience de la réalité dans le monde. La réalité dans le monde c'est que l'Europe n'est pas à l'hauteur de la crise économique...TA GEUELE !!...de la crise écologique et de la crise financière.

Y on a assez, y on a assez et ceux qui ne supportent pas d'être pris à contrepied devant l'objection (?). On a déjà fait le coup. Nous sommes contre, nous sommes contre et à la fin ils s'abstiennent, nous sommes contre mais nous votons pour. C'est indigne du parlement. Réveillons-nous car l'Europe en a besoin. Merci.

Mère ou femme, faut-il choisir?

Cette transcription vidéo à été réalisée par un étudiant de français de niveau intermédiaire afin de pratiquer orthographe et compréhension orale. Si quelqu'un a des corrections à suggérer il est tout à fait le bienvenu.




Dénoncer,
s'ensurger, Elisabeth Badinter a repris sa plume pour un nouveau combat. Ce qu'elle appelle la tyrannie de la maternité, le conflit permanent entre être femme et être mère. Son livre à peine sorti la polémiqué bruisse déjà car la philosophe met en cause ce qu'elle affirme être l'essence même de ce que nous fait croire notre société. Les femmes ne peuvent s'épanouir sans la maternité. Elle doivent tout à leurs bébés, leur lait, leur temps, leurs énergies.

E.BADINTER: On assiste comme ça à la montèe d'une nouvelle idéologie maternelle, d'un nouveau modèle maternelle centré sur la nature, par exemple, un allaitement long, de six mois, exclusive à la demande, jour et nuit suivi d'une alimentation mixte. Ça veut dire encore allaitement, en partie, jusqu'à deux ans, ce qui d'une certaine façon réassigne les femmes à la maison.
L'allaitement maternel est effectivement parfaitement adaptée aux besoins de l'enfant mais ça a des inconvénients pour la femme, et par ailleurs le biberon n'est pas cet objet empoissonné. Le lait artificiel dans nos sociétés développées n'est pas nocif et il faudrait arrêter de faire pression sur les femmes comme on peut le faire dans certaines maternités publiques où la phrase habituelle c'est, quand une femme n'a pas très envie d'allaiter, 'mais madame, vous ne voulez donc pas le meilleur pour votre bébé?'

Elisabeth Batinter fustige certains pédiatres et en particulier l'un des plus célèbres, Edwige Antier, qui, elle, milite pour un allaitement le plus long possible.

E. ANTIER: Je ne dit pas que c'est une obligation mais je dit qu'il faut aider les femmes qui comprennent comme c'est vraiment heureux ,doux, une rencontre extraordinaire.

Les deux femmes s'opposent farouchement sur l'existence même de l'instinct maternel. Elisabeth Badinter va jusqu'à affirmer que l'instinct maternel n'existe pas. Pour preuve les femmes de 17 et de 18 siècle confiaient leur bébés à des nourrices.

E.BADINTER: Est-ce que on peut dire qu'il existe un instinct quand dans des périodes aussi longue de l'histoire tant de femmes, millions de femmes ne s'occupent pas de leurs enfants? Est-ce qu'on ne peut pas réfléchir deux minutes et se dire que les valeurs d'une société pèsent beaucoup plus lourd, ainsi que l'histoire particulière de chacune femme, que les hormones de la maternité?

E. ANTIER: L'instinct maternelle existe, attendez, je l'ai rencontré tous le jour en maternité, 40 ans pratique, 40 ans que je vois une jeune mère avec son bébé ne plus penser qu'au besoin du bébé, sous l'effet de l'ocytocine, de la prolactine, de toutes ces hormones qui permettent à notre corps et à notre cerveau d'être en alerte pour les besoin de notre enfant.

En résumé, nous dit Elisabeth Badinter, il faut faciliter la vie de femmes et ne pas le considérer uniquement comme des mères. Si non avertit-elle à force de le culpabiliser certaines finiront par renoncer à la maternité, à ne plus vouloir faire des bébés.

lundi 1 février 2010

L'état pénible du blog niveau6pourtoujours

Donc, on avait créé le blog afin de réunir un ensemble de PIGS (pour en savoir plus...) qui fréquentaient le mémé classe de français.
Malheureusement le blog a jamais été utilisé à ce but là. Msr Le Selectif, celui qui a eu l'idée initiale, n'est pas même arrivé ni à s'inscrire, ni à écrire un seul commentaire. Quant aux autres, il faut les comprendre. Ils ont été trop engagés. La vie moderne est trop fatigante. On doit aller voir la grand-mère, faire le bidet au chat, passer la moitie des weekends face à quelque vitrine de chaussures, etc, etc. Trop de choses à faire aujourd'hui, vraiment.

Or, d'après la logique, il faudrait fermer le blog. Mais le blog survivra quand même à la bonté du professeur qui a voulu partager tous ses PIGS avec ses collègues du niveau 8. Parce que écrire c'est la meilleur façon de améliorer une langue.

Suggestion: Si vous étudiez une langue ouvrez-y un blog.

Si on recopie ses notes et les met en-ligne ça l'aidera à mieux retenir ce qu'on a appris.
Et si on mieux retiens les choses apprises on a plus de possibilités de ne rester pas au niveau six pour toujours.
Et si par hasard quelqu'un trouvait cela d'un quelque intérêt ça irait encore mieux. Ça veut dire dire que le partage de la connaissance c'est l'âme réelle de la blogosphere.

Bon niveau 8 à tout le monde!